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Sommeil, santé & bien-être

Comment chasser les pensées négatives à l’heure du coucher ?

Solene

17 avril 2024

La tombée de la nuit est une source d'angoisse pour beaucoup de petits. Et les parents sont parfois un peu désemparés par le mal être de leur enfant au moment d'aller au lit. Voici quelques conseils pour que dormir rime enfin avec plaisir.

 


1.Pour les bébés de deux ans environ


A cet âge, un enfant fait encore une belle sieste l’après-midi, et dort 12 heures par nuit. Enfin, quand tout se passe bien. Les petits de deux ans parlent peu, ou à peine, et ont encore du mal à verbaliser leurs émotions. C’est donc souvent avec des pleurs ou des colères qu’ils expriment leur inconfort. Pour les apaiser en fin de journée, on vous conseille donc de suivre un rituel très simple, effectué tous les soirs dans le même ordre, car ils ont besoin de routine pour être sereins. On donne le bain, le repas, puis on enchaîne avec un temps calme, comme la lecture d’histoires ou de petites comptines. Le tout en baissant le niveau de luminosité, pour arriver à une ambiance tamisée au moment du coucher, à 19h30 ou 20h maximum.

2.Pour les moins de 7 ans


Les petits sont devenus grands, et connaissent leur lot de contrariétés et d’émotions variées, pas toujours faciles à canaliser, notamment le soir venu. A cet âge, les enfants ont tendance à se confier facilement à leur papa ou leur maman, les aider à mettre des mots sur les soucis qui les hantent peut donc les soulager. Si votre enfant appréhende d’aller au lit, n’hésitez pas à placer une veilleuse dans sa chambre, pour le rassurer et dissiper toute peur du noir. C’est bien connu, les monstres profitent de l’obscurité pour aller se cacher dans les placards. On opte pour une lumière douce évidemment, afin de ne pas perturber le sommeil. Et pour évacuer les pensées négatives qui pointent le bout de leur nez en fin de journée, on peut l’initier à la méditation ou au yoga (on vous recommande le Yoga de Bloom à écouter sur toutes les plateformes de streaming). Quelques minutes de pratique suffisent, pour apprendre à ralentir avant de s’endormir.
yogabloom.lnk.to/jungle

 

3.Pour les plus de 7 ans et les tout jeunes ados


A cet âge, les enfants « ruminent » déjà à la manière des grands. Ils peuvent ressasser une contrariété qui a eu lieu à l’école dans la journée ou quelques jours auparavant. Cela vient parasiter leur endormissement, voire même le bon déroulé de leur nuit. Première étape, tenter d’ouvrir le dialogue pour comprendre ce qui cloche. Et si l’enfant ne veut pas en parler, on peut lui proposer de noter ses tracas sur un papier ou un carnet, qu’il pourra garder secret, ou partager avec vous. Comme pour les petits, respecter des horaires de coucher réguliers, même le week-end, est la clé d’un sommeil de qualité. Oui, c’est tentant de laisser veiller les enfants jusqu’à 23h comme les adultes, mais un coucher tardif peut désynchroniser tout leur cycle de sommeil, et il faudra ensuite plusieurs nuits pour le recaler… Autre point important : deux heures avant le coucher, on éteint les tablettes et autres écrans de télévision (un conseil qui vaut aussi pour les parents!), qui maintiennent une hyperactivité neuronale. Et bien sûr pas de téléphone dans la chambre, parce qu’il perturbe l’endormissement, et peut réveiller l’enfant avec des notifications.

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